Le gouvernement français espère imposer à Nouméa un accord pour bénéficier de ses ressources en nickel et fabriquer davantage de voitures électriques. Une attitude vécue par les indépendantistes comme une « recolonisation » de leur territoire.
La question est éclipsée dans les débats depuis le début des affrontements en Nouvelle-Calédonie. Il s’agit pourtant d’un enjeu crucial : qui peut profiter des ressources minières de cet archipel du Pacifique ? Le territoire abrite à lui tout seul 20 à 30 % des (...)
Je sais pas ce que dit ce pacte précisément, et j’ai aucun confiance en Macron et encore moins en Le Maire. Mais il faut voir que le contexte actuel est dramatique : les deux nouvelles usines n’ont jamais été rentables, et après une série d’incidents extrêmement coûteux les propriétaires de celle du nord sont en train de se désengager du projet.
La production est arrêtée depuis le début de l’année, et si aucune solution n’est trouvée d’ici juin ils arrêtent les fours. Et ce genre de four, une fois arrêté ça ne se redémarre plus, y’a plus qu’à jeter l’usine. Sauf que bien sûr on peut pas la jeter donc elle reste juste là à rien faire à part être moche.
Aucun acteur privé n’ayant manifesté d’intérêt, le pacte nickel est en quelques sortes le sauvetage de l’usine, et avec elle l’économie du Nord et de la Calédonie toute entière. Le nickel en Calédonie, pour le coup c’est un ruissellement qui fonctionne pas mal : l’activité de mes potes auto-entrepreneurs, commerçants ou restaurateurs dépend directement des performances des usines.
Je sais pas ce que dit ce pacte précisément, et j’ai aucun confiance en Macron et encore moins en Le Maire. Mais il faut voir que le contexte actuel est dramatique : les deux nouvelles usines n’ont jamais été rentables, et après une série d’incidents extrêmement coûteux les propriétaires de celle du nord sont en train de se désengager du projet.
La production est arrêtée depuis le début de l’année, et si aucune solution n’est trouvée d’ici juin ils arrêtent les fours. Et ce genre de four, une fois arrêté ça ne se redémarre plus, y’a plus qu’à jeter l’usine. Sauf que bien sûr on peut pas la jeter donc elle reste juste là à rien faire à part être moche.
Aucun acteur privé n’ayant manifesté d’intérêt, le pacte nickel est en quelques sortes le sauvetage de l’usine, et avec elle l’économie du Nord et de la Calédonie toute entière. Le nickel en Calédonie, pour le coup c’est un ruissellement qui fonctionne pas mal : l’activité de mes potes auto-entrepreneurs, commerçants ou restaurateurs dépend directement des performances des usines.