Vincent Laborde, chercheur en pharmacie, dénonce ces applications qui ne sont pas fiables selon lui. “Le problème, c’est qu’elles ne se basent que sur des photos, des photos qui ne sont pas toujours de qualité”, explique-t-il. Sur les 30 000 espèces de champignons répertoriées en France, seules quelques centaines sont recensées sur ces applications. En moyenne, elles obtiennent une bonne réponse une fois sur deux. Pour ceux qui désirent consommer une espèce, les programmeurs conseillent de se rapprocher de spécialistes.
Source: @mascottus@veganism.social / https://veganism.social/@mascottus/111118830877823160
Généralement, c’est ce qu’elles font. Avec une sorte de score de “certitude”. Mais ça suffit pas. Ce qu’il faudrait, c’est que ces applis implémentent des critères de clés de détermination, si on veut être sûr d’aller jusqu’à l’espèce. Même les naturalistes les plus expérimentés finissent régulièrement par revenir aux critères de détermination quand ils doivent descendre jusqu’à l’espèce avec certitude. Y a pas le choix, certaines espèces se ressemblent beaucoup, c’est comme ça, que ce soit pour l’œil humain ou celui d’une IA.